boursebinaire
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Bio: Laurent Banide a donc été radicalement éjecté du poste d'entraîneur de Monaco ce lundi après-midi et remplacé par le duo Marco Simone-Jean Petit, après seulement six journées de L2 marquées par deux revers et aucune victoire. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la manière dont le changement s'est produit lui reste en travers de la gorge et qu'il a été surpris par le timing. La manière, d'abord. «Vers deux heures, je discutais encore avec Jean-Luc (Buisine, responsable du recrutement du club) de l'éventuelle arrivée d'un nouveau joueur. J'ai dirigé normalement mon entraînement du matin et celui de l'après-midi à la Turbie. A ce moment-là, le vice-président (Michel Aubéry) est venu me parler d'une convocation chez le président (Etienne Franzi) à 19h00. Et à l'issue de l'entraînement, juste avant de prendre ma douche, j'ai appris que c'était réglé, tout le monde est venu me voir en me disant que l'info circulait dans les medias bien avant que je descende à Monaco au rendez-vous. Ce n'est pas terrible. Les choses auraient pu se faire différemment.»

On le serait à moins. Buteur pour sa première titularisation au Parc en Championnat, Javier Pastore a offert la victoire à son camp, celle qui impulse une dynamique que le club n'a plus connue depuis l'été 2009 : «Je suis content de ce but avant tout parce qu'il donne la victoire. Quand on inscrit un but, c'est pour donner de la joie au public.» C'est ce que retient aussi Antoine Kombouaré : «Il a été à l'image de l'équipe. Une première période difficile, pas mal de pertes de balles, mais on ne l'a pas beaucoup trouvé aussi. En deuxième, il a fait plus d'efforts et il a été dans la zone de vérité. Le voir marquer, c'est une bonne chose, mais surtout quand le but te donne les trois points de la victoire. J'espère que ça augure d'une série.» La série, ce sera si cela continue de bien se passer avec Ménez, notamment : «Il a de grosse qualités techniques, reconnaît l'Argentin. Tous les deux, on peut trouver de bonnes affinités mais il faut continuer à travailler.»

Le timing apparaît aussi assez brutal. «J'ai du mal à accepter cette décision, dit-il. On n'a certes pas gagné encore un match, donc notre départ n'est effectivement pas terrible. Mais on est encore loin de la fin, il restait 32 journées... On était surtout partis sur d'autres bases à l'intersaison, sur un projet précis qui réclamait un peu de temps pour faire émerger des automatismes, et tout a explosé. Cet été, j'avais accepté qu'on diminue le nombre de joueurs pour prendre des joueurs gratuits, il y a eu 30 départs, une dizaine d'arrivées et des jeunes à incorporer, tout s'est fait au compte-gouttes. Dans notre match contre Angers (1-3, le 9 septembre), trois joueurs seulement avaient suivi toute la préparation avec nous. Je paie l'addition, je suis très déçu. Je pensais avoir encore quelques matches pour lancer la machine. C'est surprenant. C'est comme ça.» Banide est donc remercié après avoir été près de sauver le club de la relégation en mai. «Je n'ai pas eu le sentiment d'avoir échoué durant mes six mois en L1, dit-il. Il aura manqué deux points.»

A chacun de ses touchers de balle, le Parc des Princes frissonne. Et quand il débarque après la douche, nonchalant, la barrière de la zone mixte bringuebale sous les assauts de la meute de journalistes présents. Il en sourit. Dimanche soir, Javier Pastore a définitivement pris ses marques dans sa nouvelle maison. «J'apprécie beaucoup de jouer dans cette équipe, c'est une formation qui aime essayer de bien jouer. On a tenté de faire de bonnes choses, mais pas sur la continuité. J'apprends pas mal de choses, je commence à bien m'entendre avec mes coéquipiers. Avec le temps, l'équipe va prendre forme et on va gagner en qualité. Pour le moment, on continue à bien s'entraider», glisse t-il dans un espagnol rapide. Le sourire patient, toujours.

Car ce grand coup de projecteurs sur la star attendue de la saison 2011-2012 du PSG ne peut masquer les zones d'ombre d'un collectif parisien pas encore rôdé. Kombouaré, en tout cas, ne craint pas l'avènement d'une Pastore-dépendance : «Je ne crois pas. On voit beaucoup Nene, on voit beaucoup Ménez... Sur le but de Pastore, l'action de Ménez, c'est du top ! J'aurais aimé que Kevin (Gameiro, ndlr) ait un peu plus de situations, mais bon... L'important, c'est la victoire. Après des victoires, les individualités sortent du lot. Ce soir, c'était Pastore, aux prochains matches, ce seront les autres.»

Difficile d'imaginer -et de retrouver trace- d'un écart de performance de 5% entre Paris et Wall Street à l'issue d'une seule séance de bourse au cours des 25 dernières années.

C'est à croire que le CAC40 (-4%) et le Nasdaq (+1,1% à quelques heures d'intervalle) ont évolué ce lundi dans des univers parallèles.

Car il serait vain de chercher ce soir 'la grande annonce' qui a fait repasser les investisseurs US du désespoir le plus profond à un regain de confiance qui fait plaisir à voir (comme si aucune ombre sérieuse n'obscurscissait l'horizon).

L'euro rebondissait lundi après être tombé sous 1,35 dollar pour la première fois depuis février et au plus bas depuis 10 ans face au yen, le marché des changes apparaissant craindre de plus en plus un possible défaut de la Grèce.

Vers 21H00 GMT (23H00 à Paris), la monnaie unique européenne valait 1,3680 dollar contre 1,3649 dollar vendredi à la même heure.

L'euro limitait ses pertes face au yen à 105,56 yens contre 105,91 yens vendredi.

Le dollar baissait face à la monnaie nippone à 77,15 yens contre 77,58 yens vendredi.

La devise européenne a nettement rebondi en fin de journée après la publication sur le site du Financial Times d'un article "indiquant que la Chine est en discussions avec l'Italie pour le rachat d'obligations" publiques du pays, a expliqué David Solin, de Foreign Exchange Analytics.

"Quand on voit l'évolution de l'euro ces deux dernières semaines, toute information potentiellement positive pour l'euro entraîne des couvertures de positions", et donc un rebond technique, "c'est tout ce dont il s'agit", a ajouté l'analyste, jugeant l'information peu significative.

Wall Street a littéralement occulté le vent de panique qui a provoqué l'effondrement de 10% des valeurs financières à Paris.

Une débâcle justifiée par un risque systémique: la faillite -potentiellement contagieuse- de la Grèce, assimilée à un 'Lehman européen'.
Dans le plus noir des scénarios -le seul qu'ont retenu les opérateurs européens- l'Espagne et l'Italie seraient rapidement incapables de refinancer leur dette, les banques créancières de ces pays tombant à leur tour comme des dominos avant d'être nationalisées pour une bouchée de pain.

Dans un tel cas de figure, leurs contreparties américaines pourraient craindre le pire car la finance mondiale est tout aussi étroitement interconnectée qu'elle l'était à l'automne 2008, on connait la suite.

Le Dow Jones (+0,63%) repasse au-dessus des 11.000Pts (à 11.061) et le 'S&P' engrange +0,7% à 1.160Pts: avec de tels scores, on pourrait croire qu'il ne s'est strictement rien passé de fâcheux en Europe (sinon un timide rebond technique ?). Le baril de pétrole a repris +2% à 89%, le risque de récession étant jugé très exagéré aux Etats Unis.

A la différence de leurs consoeurs européennes, les banques US ont largement limité la casse dès l'entame de séance (replis limités au final sur Morgan Stanley -1,5%, First Horizon -1,3%).

Le secteur a même terminé en hausse notable (+2%, c'est quasiment surréaliste) grâce à Bank of America, Citigroup et JP-Morgan qui ont repris +1,05%, US Bancorp gagnant +1,5% et Wells Fargo +2,5%.

Le Nasqdaq Composite a fortement accéléré à la hausse au cours de la dernière demi-heure, pour finir sur un gain inespéré de +1,1%, tout près des 2.500Pts.
L'euro qui évoluait autour de 1,45 dollar lors des derniers jours du mois d'août, est tombé lundi vers 04H50 GMT à 1,3495 dollar, son niveau le plus faible depuis le 16 février. Face au yen, l'euro a atteint vers 07H30 GMT 103,90 yens, un plus bas depuis juin 2001.

L'idée d'un défaut de paiement de la Grèce est revenue en force sur les marchés financiers, évoquée directement par le ministre allemand de l'Economie Philipp Rösler dans un entretien au quotidien Die Welt.

"Pour stabiliser l'euro, il ne doit plus y avoir à court terme d'interdiction de penser à certaines options", dont celle d'une "insolvabilité ordonnée", a-t-il déclaré.

De son côté, le ministère allemand des Finances se préparerait aussi à un défaut grec, selon l'hedomadaire Der Spiegel.

Dans ce contexte, les investisseurs n'ont pas été rassurés par les nouvelles mesures annoncées pendant le week-end par le gouvernement grec pour réduire son déficit public, d'environ 2 milliards d'euros supplémentaires.

"Le défaut de paiement grec, qui semblait inconcevable il y a encore quelques mois, fait maintenant ouvertement l'objet de débats en Allemagne afin de mettre sur pied un plan B pour recapitaliser et protéger les banques", a observé Michael Hewson, de CMC Markets.

Plus généralement, l'analyste a constaté "un ras-le-bol grandissant contre les plans de sauvetage en Europe du nord et contre l'austérité dans le sud".

Ajoutant à la tension ambiante, des rumeurs d'un abaissement des notes de solvabilité des banques françaises ont lourdement pesé sur les marchés boursiers du Vieux Continent lundi.

Et "même si les problèmes de la zone euro disparaissaient, nous serions toujours inquiets pour la croissance mondiale. L'incertitude reste considérable", a relevé Ray Attrill, de BNP Paribas.

"Le marché recherche des valeurs refuge. Le franc suisse n'en fait plus partie pour l'instant et le marché s'inquiète un peu pour le yen en raison d'une possible intervention (des autorités nippones pour freiner son envolée, ndlr). Le dollar reste peut-être la seule valeur refuge" sur le marché des changes, a-t-il expliqué.

La Banque nationale suisse a fixé mardi dernier un cours plafond à ne pas dépasser pour sa devise: l'euro ne devra ainsi pas valoir moins de 1,20 franc suisse. L'institution compte intervenir sur les marchés en achetant en "quantité illimitée" des devises étrangères pour empêcher sa monnaie de franchir ce seuil.

Vers 21H00 GMT, le franc suisse montait un peu face à l'euro à 1,2040 franc suisse pour un euro, comme face au billet vert à 0,8800 franc suisse pour un dollar.

La livre britannique se repliait face à l'euro à 86,23 pence, mais remontait face au billet vert à 1,5862 dollar.

La monnaie chinoise a fini à 6,4040 yuans pour un dollar contre 6,3884 yuans vendredi.


Le Nasdaq-100 pour sa part ne perd plus que 1,2% depuis le 1er janvier tandis que le CAC40 s'effondre de -25% et le DAX de -27%.

Le Nasdaq a profité du rebond de Marvell +5,3%, Micron +5,2%, Vertex +4,3%, EBay +3,5%, Sandisk +3,3%, AMD, Intel, Netflix et Oracle +3%.


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